jeudi 31 décembre 2015

Sac à dos FORCLAZ Air de chez Quechua


Je ne suis pas pour faire de la publicité, mais le but de ce blog étant d'aussi parler de mes expériences sur du matériels, je ne peux faire autrement que de citer un peu de marque... Et puis quand c'est moins cher, c'est bien utile !
Voici donc mes derniers achats (trois dans la situation présente) en matière de sac à dos. J'ai trouvé ce sac à dos de 20L à 19,95€ (29,95€ pour le 30L) chez le Décathlon du coin.

A la fois accessible à de nombreuses bourses, il se montre simple et suffisamment solide pour un sac destiné à devenir un sac d'évacuation d'urgence. En revanche, si vous envisager un usage plutôt intensif, oubliez le vite et montez de gamme.

Il est relativement léger et pratique pour enfants ou adultes (de petite taille), il ne lui manque que l'étanchéité... Dommage.
Bon, personnellement, je n'y ai pas prêté attention, car les kits qui iront dedans sont déjà des contenants étanches. A réfléchir donc si cela n'est pas votre cas.

J'ai également apprécié les nombreuses déclinaisons de couleur qui font que chaque sac est du gout de son propriétaire (et croyez moi, avec les drôles ce n'est pas toujours facile). Utile aussi pour savoir quel sac est à qui (Celui à bretelles roses, c'est à maman !)...
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mercredi 30 décembre 2015

Le sac d'évacuation


Le sac d'évacuation, “Bug Out Bag” (BOB) de l’autre côté de l’Atlantique, est certainement ce qui est le plus "difficile" à composer.
La probabilité de devoir évacuer votre domicile doit être étudiée sérieusement et soigneusement.
Les faits sont là. Les risques existent bel et bien et combien de personnes sont contrainte chaque année de quitter leur domicile dans la précipitation, même que pour quelques heures? Combien de ces personnes retrouvent leur foyer détruit et n’ont plus rien?
Le dernier exemple en date est arrivé au sein de mon département lorsque des tornades ont frappés en septembre dernier. Résultat, en quelques minutes, plusieurs familles se sont retrouvées démunies entièrement.
Un sac d'évacuation aurait pu leur être utile, du moins en ce qui concerne un peu de change et surtout la partie paperasse (qui en France est proportionnellement ÉNORME) et qui est invariablement utile. Mais j'y reviendrais plus tard dans un autre article sur la création de LA sauvegarde documentaire.
Voilà donc une des utilités d'un tel sac.
Le saviez-vous?
Dans une situation d’urgence, les réseaux d’eau courante, d’électricité, de téléphone peuvent être coupés. Vous devez être prêt à vivre de manière autonome quelques jours avec certains articles essentiels, à votre domicile (confinement) ou en dehors après un ordre d’évacuation. 
Malgré cela, ce n'est que très dernièrement, qu'avec ma femme, nous avons décidé de mettre en place ces sacs d'évacuation. Jusque là, nous avions juste chacun un E.D.C. sur nous, en déplacement et un trousseau un peu plus gros dans la voiture.
Nous avons donc sauté le pas.
Mais effectivement, le sac d'évacuation doit être bien réfléchi. Beaucoup de points sont à étudier, variants, selon les personnes, leurs âges, leurs capacités physiques, etc...
Pour notre foyer, nous avons mis en place 1 sac par personne. Nous sommes quatre, soit 2 adultes et 2 enfants, donc quatre sacs à construire (ça c'est des maths!). 
Je parle de construire un sac, car c'est vraiment cela.
Nous sommes donc parti d'une liste existante, et après études et réflexions, nous en avons créé une bien à nous. Puis celle-ci s'est divisée en quatre listes bien distinctes, adaptées à chaque membre de la famille.
Des listes, sur Internet, il y en a des tonnes. Chaque site, chaque forum, chaque article vante les mérites de telle ou telle liste, avec recommandations de tel ou tel expert en survie... Mais au final, si l'on rassemble une majorité de ces dernières, des éléments sont communs à toutes. Ce sont ces derniers que nous avons conservé en priorité.
Mais cela n'est pas tout. En effet, il ressort nettement que le sac doit aussi être construit en fonction de l'individu et surtout de son environnement. Pour revenir au contenu du sac, il doit vraiment être adapté à la personne. En fait, il ressort que chaque élément de votre sac vous sera utile à partir du moment ou vous savez l'utiliser. Un firesteel, c'est super, mais encore faut-il savoir l'utiliser pour faire un feu. Préférez allumettes ou briquets, surtout si vous n'êtes pas familier de son utilisation. Pensez ainsi pour les sacs des enfants, en fonction de leurs acquis et de leurs aptitudes. Il en va de même pour nous, adultes.
Pour une trousse de survie, pareil, si vous n'êtes pas chirurgien, abstenez-vous peut-être de prendre de quoi faire un pontage coronarien... Préférez plutôt de l'utile, comme un pansement compressif pour les hémorragies externes importantes... 
Et formez-vous au premiers secours! Pas cher et très utile. Super aussi pour les ados et des fondamentaux peuvent aussi être expliqués facilement.
Bref, pensez à tout ce qui est utile dans votre environnement immédiat, ne vous encombrez pas de choses inutiles et/ou superflues.
De même, ne prenez que ce dont vous êtes capable d'utiliser ou de porter. Pensez poids et encombrement. Nous parlons de sac d'évacuation d'urgence, pas un sac de randonnée, pas de camping, encore moins d'une maisonnée transportable ! 
Vous n'avez que quelques minutes pour évacuer, donc pensez pratique, peu encombrant, peu lourd. Et en plus pour l'entreposer dans une zone accessible (comme un placard dans l'entrée), se sera plus simple.
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Nouveau couteau de camp


Le "petit" dernier, mon couteau de camp, 35cm d'acier forgé, 4mm d'épaisseur, manche en bois d'Ipé poli. Sorti de forge le 15 décembre dernier.

Pourquoi un tel couteau ?
Primo, je suis accro aux couteaux... Je les aime tous ! 
Mais celui-là, c'était avant tout pour me faire plaisir et de le faire faire sur mesure par un forgeron, un modèle unique.
Secundo, le besoin d'un outil fonctionnel en camp pardi !

Certes, il est grand, il est lourd, il rouille s'il n'a pas la lame graissée, mais je le voulais ainsi car je le tiens bien mieux en main qu'un couteau plus petit. Lourd, mais robuste aussi. Quant à la graisse sur la lame, cela ne me gène pas (surtout si c'est de la graisse de saucisson !) et pour manger, je garde de toute manière mon fidèle (et increvable!) tatou. 
Et l'acier s’affûte bien.
Forgé par Gregory Lesimple dans sa boutique : Au Chant de l'Enclume.
Je vous le recommande, car qualité et prix sont au rendez-vous.
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mardi 29 décembre 2015

La condition physique du (sur)vivant

La condition physique ! Le bien être général de votre corps. Mais sur notre sujet qu'est la survie, il est question de bien plus qu'un simple potentiel physique. 

Lorsque l'on parle de condition physique, on fait souvent penser au mot sport qui lui est associé. 
Le sport c'est bien, mais pour autant est-ce tout ce qui vous sauvera? 
Parce que de mon point de vue et de l'expérience de ma vie et surtout mon ancienne vie de bidasse, tout sportif que l'on soit, si l'on manque de volonté, si l'on est fort peu débrouillard et que sais-je encore, on survie moins bien, voire difficilement.

Pour autant, il faut bien le reconnaître, posséder une bonne condition physique, ça aide.
Une chose toute bête, mais je le constate souvent, ne serait-ce que pour la marche. Et bien mes enfants, certaines personnes âgées nous mettent sérieusement la pression à nous qui sommes plus jeunes ! La vie professionnelle y est pour beaucoup, car le physique et les capacités, s'adaptent au rythme professionnel et pour peu que l'on soit enfermé et derrière un bureau, c'est épouvantable !

Endurance, vitesse, maintient de l'effort... Je croise régulièrement de ces super papys et mamies. Et bien, ces personnes montres des capacités que beaucoup n'avons pas ou plus !
Bien évidemment, tout cela se forge dans le temps et le temps, si ces personnes l'ont, nous, jeunes actifs en avons moins, enfin, nous nous en donnons moins. Et voilà ou le bas blesse. Nous perdons cette condition physique essentielle. 

Avouez-le, quand avez-vous pris vos pieds plutôt que votre voiture, ne serait-ce que pour aller chercher le pain le samedi matin? On perds cette faculté à marcher et donc à rester endurant. C'est un effort physique intense et j'observe cela aussi chez des personnes, qui pourtant habituées à différents sports, sont souvent incapables de marcher longtemps.

Alors si on rajoute un bon sac à dos... Ou marcher dans le sable mou, la boue, sous la pluie, au froid, au chaud, etc...

Bref, tout ça pour dire que je m'y suis remis. La marche, j'en faisait déjà, pour le plaisir, pour la rando aussi, mais j'admets l'avoir laissé souvent de côté au quotidien pour le confort de mon siège de voiture... Et plus que ça, en plus de la natation pratiquée quotidiennement, je me mets désormais au cardio et au fitness, pour entretenir la machine, dérouiller les jointures, etc.
Et honnêtement, pour le souffle, l'effort soutenu, l'endurance, c'est vraiment bien.
Oui, vous l'avez deviné, j'arrive à 40 ans... 

Mais c'est surtout que sur les 20 dernières années, j'ai vraiment perdu beaucoup sur le plan physique. Je suis plus "pépère" et je voudrais retrouver cette sensation de bien être physique ou l'on se sentirait presque invincible, comme à 20 ans...

Je pense que cela est aussi un facteur important à prendre en compte dans une situation de survie.
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mardi 22 décembre 2015

Le téléphone mobile


Voilà un moment que l'idée me démange, alors voilà, c'est fait, je lâche tout !
Le mobile, ou portable, ou smartphone, bref, un téléphone que l'on trimbale avec soi, partout. Et quand je dis partout, c'est partout ! Cela en deviendrait presque malsain, pourtant, il est devenu un incontournable. 
Pour le mobile, je trouve ça hyper pratique. Je ne le cache pas, j'ai personnellement une bonne collection de mobiles et smartphones divers dans mes tiroirs. 
Pourtant, malgré tout, je viens de m'en racheter un nouveau. Enfin pas si nouveau que ça. La seule différence, c'est que celui là, il ne tourne pas sous IOS ou Androïd ou autre MUI et compagnie. Il n'est pas tactile et son écran n'est pas un format HD de compétition. Pas d'applications, pas de jeux, pas de GPS... Internet quand même, pour les mails au moins et Bluetooth pour la connectique dont j'ai utilité, photos même.
Je l'ai choisi pour plusieurs raisons. En premier lieu, il capte très très bien ! Ce qui n'était pas le cas de mes smartphones. Ensuite, sa batterie est nettement moins sollicitée que sur un smartphone car pas d'applications énergivores et elle à donc pour le coup une autonomie presque indécente. Plus solide. 
Le top du top, même avec des gants, je peux texter. Pas besoin de gants avec les bouts des doigts en truc machin chose pour pouvoir se servir d'un écran tactile.
Alors oui, j'ai arrêté le smartphone au profit d'un bon vieux mobile à touches, dont certaines sont même programmées pour les numéros utiles et ceux de mes proches et là, même si mon écran est cassé, je peux téléphoner, il suffit de rester appuyé sur la bonne touche ! Faites-en de même avec un smartphone à écran cassé... Cela m'est arrivé une fois, c'était mission impossible.
Alors pour le côté "survie" dans mon EDC, il est bien au chaud, à sa place.
Attention toutefois, je n'oblige personne à faire de même, mais pensez-y peut être. Question prix, une misère comparé aux mobiles à la mode et il est compatible tous opérateurs car débloqué.

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samedi 19 décembre 2015

Étiqueter ses kits


Étiqueter ses différents kits peut paraître anodin, mais pour moi qui travaille dans un domaine ou la sécurité fait loi, j’ai trouvé que l’usages de pictogrammes bien voyants était sensé, qui plus est si certains kits sont mis entre les mains d’un enfant. 

Cela est personnellement mon cas, avec mon bout de 8 ans. Même si ce dernier sait lire, je lui ai fait tester chaque pictogramme avant d'y inscrire quoique se soit et il à eu 100% de bonnes réponses ! Donc je suis satisfait, car si un drôle de 8 ans comprend, n’importe quel adulte doit le pouvoir également.

Et comme nous sommes là pour partager, nous vous fournissons un aperçu des fameuses étiquettes ci-dessus.

Vous retrouvez donc ainsi le kit ‘CAMP’, pour tout ce qui est couchage, tente, tarp, etc.. Le kit ‘COM’, pour tout ce qui est communication, le kit ‘EAU’ avec tout ce qui touche à la purification et au contenants et à l’eau elle-même, le kit ’FEU’, le kit ‘MIAM’ qui contiendra… Devinez! 
Le kit ‘OUTILS’, le kit ‘PÊCHE’ et le kit ‘SANTE’. On peu encore en rajouter, en fonction des kits que l’on veut créer.

Le truc de l'étiquetage nous est pratique dans le sens ou nous avons des contenants de type identiques à la fois entre eux et dans les sacs de chacun. Donc, au lieu de devoir ouvrir chaque contenant à la lumière d'une lampe ou de la lune par exemple, un coup d’oeil rapide sur l’étiquette devrait être suffisant.
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vendredi 18 décembre 2015

Le premier couteau

Notre cadet va avoir ses 8 ans dans quelques semaines et selon une ancestrale tradition familiale, c’est l’âge auquel les héritiers mâles (et oui autrefois, les filles n’y avaient pas droit... Et comme nous n'avons fait que des garçons... CQFD) reçoivent leur première lame de poche et apprentissage qui va avec. 

Admettons, oui, cela peut paraître un peu jeune, mais vivant en zone rurale et descendant de familles paysannes, pour nous, c’est quelque chose de banal, voire de totalement normal.
De plus nous sommes régulièrement en ballade dans la campagne, en randonnée, en forêt, ou en bordure de mer ou même en pique-nique. Un couteau de poche est donc utile pour tout plein de choses. 

Personnellement, je me souviens encore du mien, au même âge, qui ressemblait trait pour trait à celui-ci :


Mais pour autant, nous n'allons pas mettre entre les mains d’un drôle une lame de 40 cm bien effilée ! 
Non, comme le veux la tradition, c’est du couteau simple, une lame de 8 cm maximum et aujourd’hui avec un bout rond et un blocage de lame qui ne sont pas sans me déplaire... 

Car je me rappelle aussi et douloureusement, le nombre incalculable 
de fois ou ma propre lame s’est refermée sur mes doigts ! 
Le métier qui rentre ! Me disaient les hommes de la famille...

Oui et c’est pour cela que j’ai regardé de plus près la gamme de couteau pour enfants, qui se décline en quatre couteaux : 

1- Le Victorinox MyFirst 
Le Victorinox! Malgré sa lame à bout arrondi, c’est un vrai couteau suisse et de même qualité de fabrication que les grands. Les accessoires simples comme les traditionnels cure-dent et pince à épiler sont présent, avec le décapsuleur ! Existe en bleu et rouge, il est cool. Vraiment. Et il possède un anneau d’attache. Le MyFirst de Victorinox est un couteau bien construit qui durera longtemps, mais attention à l’absence de blocage de la lame sur ce modèle. 

2- L’Opinel Enfant 


L’Opinel reste un Opinel, avec le blocage de la lame qui est très efficace et n’est plus à prouver, mais qui nécessite une explication rapide du comment la virole, car tel est son nom, fonctionne. C’est un réflexe que les enfants mettront un certain temps à apprendre! Le tranchant est bon et suffisant. L’ergonomie du manche est excellente. Le manche arrondi tient parfaitement en main. Le trou à l’arrière du manche pour y installer une lanière est pratique. Le manche est injecté en polyamide chargé en fibre de verre qui garantit une grande résistance aux chocs, à l'eau, et aux températures extrêmes (-40°C à +80°C). Un sifflet est intégré dans le talon du manche, sans bille il fonctionne par tous temps, d'une puissance de 110 dB, il a une portée d'environ 300 mètres en zone dégagée. Ça, c’est le plus je trouve. 

3- Le Laguiole enfant 


Joli avec son manche rayé mais déception car l’inscription « semi-affûté » au révèle que, ça ne coupe pratiquement pas... Bien pour une tranche de jambon, mais pour tailler un bout de bois, on repassera... Et question sécurité le danger est justement à essayer de couper avec une lame mal aiguisé! Les finitions « Made in Pakistan » ne rassurent pas non plus et surtout, la lame n’a pas de système de blocage. 

4- Le Wenger Junior 09


Le Wenger Junior est le couteau le plus complet du groupe, mais il respecte quand même un budget raisonnable. C’est également un vrai couteau suisse, comme le Victorinox. Son manche donne une impression de solidité renforcée par rapport au Victorinox. Le plastique possèdes des moulures au manche pour une bonne une prise en main et agréable avec ça. Pour les accessoires, nous trouverons une scie à bois, un lime à ongles, un cruciforme, un cure dents et une pince à épiler. La lame possède elle, un blocage, mais pas la scie, ce qui est dommage. 

Roulement de tambour ! Le vainqueur est : l’Opinel ! 

Après avoir comparé les 4 couteaux, il était clair que seuls l’Opinel et le Wenger étaient acceptables pour un jeune enfant du point de vue de la sécurité apportée par le blocage de lame. 
Pourtant, en dernier recours et après réflexion, nous avons écarté le Wenger, car la scie, elle ne se bloque pas. Dommage car elle est de bonne qualité, peut être même aussi bonne que chez Victorinox, c’est dire! 
Mais nous trouvons aussi que pour un couteau de débutant, trop d’accessoires est justement en trop. 
Le tournevis va servir irrémédiablement à autre chose que lors de sorties nature et cela nous présage du démontage sauvage de meuble et autres jouets...
De plus, nous ne prévoyons pas de confier un couteau de manière permanente à notre drôle, mais seulement lors de nos excursions. Comme pour l’aîné d'ailleurs.

Et là, le sifflet est LE point positif qui l'a emporté. 
Commandé chez Opinel sur le site suivant : http://www.boutique-opinel-musee.com/.

Reçu ce matin, fidèle à notre choix, conforme et de qualité. Sauf peut-être la virole qui bouge un peu et qu'il faut vraiment serrer bien fort pour éviter que la lame ne vibre un peu, la différence avec le manche en bois peut être. 
Le tranchant est lui, à la hauteur du couteau pour adultes.
Quoiqu'il en soit, nous allons maintenant devoir le tester ! La suite au prochain numéro.
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mercredi 16 décembre 2015

EDC ? Késako ?


Le E.D.C. ou Every Day Carry, désigne tous les objets que l'on porte en permanence sur soi, dans une sacoche, dans ses poches ou son sac à main pour les dames.

L' 
E.D.C. est à différencier d’un kit de survie qui lui est préparé pour l’urgence, comme le sac d'évacuation.

Cela n’est donc (et cela doit le rester) qu’un minimum. C'est le matériel de tous les jours, l'utile dont l’on a besoin dans son environnement journalier et que l’on peut adapter en fonction de ses sorties ou loisirs par exemple.
Chaque 
E.D.C. est donc différent, il est créé personnellement, en fonction des besoins, des priorités et de l'environnement propre à chacun
.

En photo ci-dessus, mon propre E.D.C.. Je l'emporte avec moi, chaque jour. C'est une simple sacoche passe-partout contenant le nécessaire :

- un stylo feutre ou à bille

un téléphone mobile qui n’est pas un smartphone !
housse de téléphone que l’on peut aussi porter à la ceinture
mes papiers (CNI, carte grise, etc.), argent, CB
une petite trousse pour les petits objets
mon trousseau de clefs véhicule auquel s’ajoute les clefs du domicile
un chargeur solaire avec lampe LED intégrée et son cordon
une clef USB cryptée avec mes données sensibles et précieuses
une carte SD cryptée avec les données de mon travail
un opinel
une housse pouvant elle aussi se porter à la ceinture
une mini lampe LED
une pince multifonction

Je complète cet E.D.C. chaque jour avec 1 à 2 barres énergétiques ou des fruits secs et ma montre portée à mon poignet.

L’étui CB est désormais de type protection contre le piratage NFC / RFID, et mon stylo à une lampe LED intégrée et 
un petit bloc note est venu en complément.
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mardi 15 décembre 2015

LE pourquoi de ce blog


Voilà LA bonne question, le pourquoi. 

Bon alors pour commencer, il faut comprendre que l'objectif premier n’est pas de faire un blog pour les "adeptes" de la chasse aux zombies ou autre divagations du genre. 
Je ne veux pas non plus faire de la promotion pour les articles du “survival business”. 

Bien entendu, notre belle image ci-dessus nous montre une "jolie" explosion nucléaire, mais là, c'est juste pour accentuer le côté dramatique, même si il faut bien se l'avouer, nous ne sommes pas à l'abri (voire de moins en moins...) d'une telle catastrophe. 
Souhaitons juste qu'elle ne se produise jamais. 

Non, j'ai juste pour objectif de simplement présenter nos retours d’expériences, notre mode de préparation et d'organisation, etc. 
Juste pour essayer de palier au maximum à une situation possible d’urgence entraînant elle-même une possible situation dite de “survie” ou d’attente des secours. 

Pourquoi cette démarche? 
Parce que nous vivons dans un département de France ou il existe divers facteurs de risques que nous ne pouvons ignorer : 
> Feux de forêts 
> Inondation 
> Inondation par ruissellement et coulée de boue 
> Inondation par submersion marine 
> Mouvement de terrain 
> Phénomène lié à l'atmosphère 
> Phénomènes météorologiques : tempêtes et grains (vent) 
> Séisme (Zone de sismicité: 3) 
> Accident industriel 
> Accident nucléaire 
> Transport de marchandises dangereuses 

Rajoutez à cela toutes les catastrophes naturelles, conflits et/ou attentats dans divers pays et bien évidemment malheureusement là encore, les récents événements liés aux attentats de Paris et l’état d’urgence qui en découle, le plan VIGIPIRATE, la menace terroriste... 
Je pense que vous me comprendrez aisément. 

Le saviez-vous ? 
Se préparer aux risques majeurs c'est anticiper une situation d'urgence. 

Possédant l'instinct à se protéger soi et les siens, nous ne pouvons rester impassibles devant de tels risques. Encore moins se refuser à les ignorer. 
Et comme nous sommes une famille, que la vie est précieuse, mais que ou le monde de la consommation est juste prohibitif, nous devons bien trouver des astuces, car ce qu'une personne seule peut s'offrir assez aisément, nous, nous devons le multiplier par quatre...
Et donc certaines choses deviennent onéreuses et/ou compliquées. Ajouter à cela nos différences de physiques et d'âges, vous comprendrez vite.

Voyez donc ce blog comme celui d'amateurs, de gens non spécialistes de la (sur)vie, c'est une contribution, un partage totalement gratuit, sans entourloupes, sans intérêts, sans TVA... 

Simplement pour éventuellement avoir une utilité si vous-même et vos proches êtes dans la même situation. 

Vous pouvez aussi trouver cette démarche étrange, farfelue ou nous traiter de psycho... 
Nous ne vous jugerons pas, mais si vous ne le saviez encore pas, le gouvernement français lui-même vous invite à une telle démarche. 
Allez voir sur les sites suivants et faites-vous votre propre opinion : 

www.risques.gouv.fr 
www.gouvernement.fr 

Bonne balade !
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